L'auteur
Sylvie La Huppe est née à Lourdes. Elle y a connu « le monde sauvage du travail » sous la « soutane de vendeuse d’un magasin d’objets religieux » où elle a travaillé pour payer son pèlerinage. Elle n’est pas partie pour Compostelle parce que c’est à la mode. Saint Jacques l’a appelée, comme Dieu avait appelé Abraham : « Va, va vers toi … ». Sur le chemin de Compostelle, Sylvie nous entraîne dans son enthousiasme et sa joie de vivre. Pour ses lecteurs Sylvie fait chanter les étoiles.
Paru dans une collection initiée par la Fondation David Parou Saint-Jacques, ce livre contient quelques repères historiques qui redressent des indications erronées de l’auteur, mal informée par ses lectures préparatoires et surtout ses rencontres du chemin.
Paru dans une collection initiée par la Fondation David Parou Saint-Jacques, ce livre contient quelques repères historiques qui redressent des indications erronées de l’auteur, mal informée par ses lectures préparatoires et surtout ses rencontres du chemin.
Pourquoi ce livre nous a plu
« Demain sera un autre jour », ne pas « gaspiller sa vie à faire des choses sans vie pour survivre », « se concentrer sur la beauté » voila des messages que délivre ce récit de pèlerinage à Compostelle.
Au travers des aventures et des découvertes du Chemin dont elle s’attache à décrypter le sens, Sylvie La Huppe nous fait partager ses impressions et ses émotions comme rarement dans les récits de pèlerins. Vibrant de toute sa sensibilité, elle sait dire sa vérité profonde et révéler l’essence de ce qui la fait vivre, se « concentrer sur l’instant qui passe », y découvrir l’amour dont nous sommes aimés. Ce récit est aussi une galerie de portraits qui témoigne d’un regard à la fois incisif et indulgent. Comme le lui disait l’un de ses compagnons de route : « Toi tu es un petit oiseau au cœur pur ». C’est bien une impression de fraîcheur et d’authenticité que laisse la lecture de ce livre. Pour vous aussi, Sylvie fera " chanter les étoiles ".
Au travers des aventures et des découvertes du Chemin dont elle s’attache à décrypter le sens, Sylvie La Huppe nous fait partager ses impressions et ses émotions comme rarement dans les récits de pèlerins. Vibrant de toute sa sensibilité, elle sait dire sa vérité profonde et révéler l’essence de ce qui la fait vivre, se « concentrer sur l’instant qui passe », y découvrir l’amour dont nous sommes aimés. Ce récit est aussi une galerie de portraits qui témoigne d’un regard à la fois incisif et indulgent. Comme le lui disait l’un de ses compagnons de route : « Toi tu es un petit oiseau au cœur pur ». C’est bien une impression de fraîcheur et d’authenticité que laisse la lecture de ce livre. Pour vous aussi, Sylvie fera " chanter les étoiles ".
Extraits de la préface
Je ne connaissais pas Sylvie Lahuppe mais son manuscrit m’a séduit. J'ai accepté d'en écrire la préface qui a été conservée dans la 2e édition. En voici des extraits :
J’ai déjà lu et entendu un grand nombre de récits de pèlerins. Beaucoup tombent des mains après quelques pages ou endorment rapidement après les premières images. Je me souviens du récit d’un séminariste qui permettait de faire le décompte des cafés qu’il avait consommés et des douches qu’il avait prises mais restait discret sur ses sensations et ses sentiments. Il parlait aussi de ses « merveilleuses rencontres du chemin » sans jamais en dévoiler le contenu et ce qu’il en avait retiré.
Rien de tel dans le récit de Sylvie Lahuppe. Il se lit d’une traite avec un intérêt croissant. [...] les étapes qui se suivent apportent leur lot de découvertes, d’émotions, de peines et de joies. [ ... ] un livre sincère et authentique loin des banalités habituelles.
[ ... ] Alors avec Sylvie partons sur le chemin de Compostelle. Mais attention vous n’aurez pas en permanence la tête dans les étoiles. Sylvie sait observer et « croquer » comme le ferait un caricaturiste les situations et les personnages. Et elle n’a pas sa langue dans sa poche.
[ ... ]
Revenir aux origines, c’est s’ouvrir à l’histoire et aux légendes de saint Jacques et du chemin. Sylvie est partie avec le bagage historique minimum, celui qui est dispensé par la plupart des récits de pèlerins qu’elle avait lus. Elle l’a augmenté au gré des rencontres du chemin, écoutant ses compagnons qu’elle pensait érudits parce qu’ils lui racontaient des histoires qu’elle ne connaissait pas. Dans son récit, les mots signalés par un astérisque* renvoient à des commentaires ou des précisions historiques en fin d’ouvrage.
Certes point n’est besoin de connaître l’histoire pour marcher vers Compostelle et demeurer sous son charme. Mais, beaucoup le disent, le pèlerinage s’inscrit dans une histoire. Alors autant la connaître le mieux possible pour échapper aux discours trompeurs et se méfier des aliments frelatés. La connaissance alimente le rêve et ceux qui aiment les légendes savent qu’elles font aussi partie de l’histoire.Louis Mollaret
Le témoignage d'une lectrice
Voici le témoignage d’une des premières lectrices du Chant de l'étoile. :
Je viens de terminer Le chant de l’étoile, et je le trouve bien différent des autres récits qui ont le don de m’endormir. Il m’a beaucoup plu et en plus ça finit en conte de fées ! Cela me donnerait l’envie, dans une prochaine vie de partir sur le Chemin... Si vous le rééditez, j’aimerais une carte, ça aide à suivre pour les non-pèlerins, et une photo de l’auteure. Trouverez-vous les lecteurs ?... on a tellement l’habitude de s’ennuyer en lisant les récits de pèlerinage ! Il faut arriver à les persuader que celui-ci n’est pas un récit de plus...
J. Michel, Antony (2008)