La réaction d'Anton Pombo
Voici l'original de l'article d'Anton Pombo, sur le site de Gronze
En voici le résumé fait aussi par ChatGPT :
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L’article de *The Guardian* décrit la violence sexuelle contre les femmes sur le Camino de Santiago comme une menace endémique, alarmant les pèlerines voyageant seules. S’appuyant sur quelques témoignages, il passe sous silence les statistiques officielles et généralise des expériences individuelles. Anton Pombo dénonce une approche sensationnaliste, apparentée à une condescendance héritée de l’impérialisme britannique et influencée par les tendances woke. Cette vision alarmiste viserait à discréditer l’Espagne en tant que destination touristique, s’inscrivant dans une série d’attaques contre sa réputation.
Les autorités et associations locales rejettent cette description, la qualifiant de « fausse » et « exagérée ». Elles soulignent que le Camino est largement perçu comme un lieu sûr, avec un réseau solidaire de pèlerins. En réponse à de rares incidents, des initiatives comme le programme No Caminas sola, en collaboration avec les pharmacies rurales, et l’application " AlertCops " sont mises en place pour assurer la sécurité des pèlerins. Le Camino n’est certes pas sans risque, mais il reste loin de l’image dangereuse dépeinte par le journal britannique.
Lien vers l'original
Les autorités et associations locales rejettent cette description, la qualifiant de « fausse » et « exagérée ». Elles soulignent que le Camino est largement perçu comme un lieu sûr, avec un réseau solidaire de pèlerins. En réponse à de rares incidents, des initiatives comme le programme No Caminas sola, en collaboration avec les pharmacies rurales, et l’application " AlertCops " sont mises en place pour assurer la sécurité des pèlerins. Le Camino n’est certes pas sans risque, mais il reste loin de l’image dangereuse dépeinte par le journal britannique.
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